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Arrêt maladie, congé parental, pension d'invalidité… La bonne nouvelle vient de tomber pour des millions de salariés !

Arrêt maladie, congé parental, pension d'invalidité… La bonne nouvelle vient de tomber pour des millions de salariés ! © Richard Villalonundefined undefined / Getty images

Publié le par Émilie Pelloux

Le plafond de la Sécurité sociale utilisé dans le calcul de nombreuses aides et cotisations sociales progresse de 1,6 % en 2025. De quoi espérer des prestations plus élevées pour les salariés.

Le plafond de la Sécurité sociale augmente de 1,6 % en 2025 a confirmé un arrêté du 19 décembre 2024 publié ce dimanche au Journal officiel. Si l’information peut sembler anodine, elle devrait pourtant réjouir de nombreux salariés. Ce montant sert en effet de base aux calculs de nombreuses prestations sociales et des cotisations pour les employeurs.

Le plafond annuel de la Sécurité sociale (Pass) est fixé en fonction du salaire moyen par tête (SMPT) de l’année N-1. Les années précédentes, celui-ci avait nettement augmenté avec + 5,4 % en 2024 et + 6,9 % en 2023. Avec cette moindre hausse en 2025, les valeurs du plafond de la Sécurité sociale devraient atteindre :

  • 47 100 € annuel contre 46 368 € en 2024 ;
  • 11 775 € trimestriel contre 11 592 € en 2024 ;
  • 3 925 € mensuel contre 3 864 € en 2024 ;
  • 906 € hebdomadaire contre 892 € en 2024 ;
  • 216 € journalier contre 213 € en 2024 ;
  • 29 € horaire contre 29 € en 2024.

Le calcul de certaines prestations sociales

Ces montants sont particulièrement utiles à connaître pour le calcul de certaines prestations sociales telles que :

  • Les indemnités journalières (IJ) pour maladie, accident du travail, maternité, paternité ;
  • Les pensions d’invalidité ;
  • Les pensions d’assurance vieillesse du régime général.

Un outil pour les employeurs

Pour les employeurs, ces montants servent à calculer :

  • Les cotisations sociales sur le salaire, l’assurance vieillesse, le chômage, les régimes complémentaires de retraite ;
  • Les seuils d’exonération fiscale et sociale des indemnités de rupture ;
  • Le montant de l’indemnité versée aux étudiants effectuant un stage d’au moins deux mois en entreprise ;
  • Et la contribution au fonds national d’aide au logement (Fnal).
Photo de profil de Carine.Jalabert Audouin Carine
218 points
Débatteur Renommé
Oui
il y a 14 jours
Pourquoi toujours les mêmes qui doivent payer. On donne 2 fois sur un salaire...la première via les cotisations (qui sont des impôts indirect) et la seconde via les impôts direct... Arrêtons de dema
Lire 25 arguments Oui
Photo de profil de Bepaslou35
91 points
Non
il y a 3 mois
Ne serait-il pas possible de diminuer le nombre de ministres, de sénateurs et de tout autres employés politiques et de ne leur accorder qu'une seule année d'indemnités lors de leur départ ? Ils retrou
Lire 34 arguments Non

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